Lorsque je te regarde, je pleure de douleur. Je vois tellement de magnificence non assumée que j’en pleure de douleur. Quand accepteras-tu la beauté de ton être ? Quand accepteras-tu ta perfection ? Quand accepteras-tu ton imperfection ? Et que les deux ont leur raison d’être et leur justesse ? Quand accepteras-tu tout ce qui cherche à sourdre de ton coeur ? Comme moi, je t’invite à pleurer afin de nettoyer tout ce qui n’a plus raison d’être et de laisser émerger la nouvelle personne à qui tu peux donner naissance dès aujourd’hui.